SANTÉ
La qualité de l’air intérieur sur la santé et le bien-être
Nous passons une grande partie de notre vie à l’intérieur, que ce soit chez nous, au travail ou dans des magasins et des restaurants.
Nous y respirons un air qui a été pollué par de nombreuses substances naturelles ou produites par l’homme. Que ce soit à l’intérieur ou à l’extérieur, la pollution de l’air représente le plus grand risque environnemental en matière de santé publique.
Responsable de maladies sur le court terme et le long terme, elle peut potentiellement réduire l’espérance de vie. Les architectes, designers, employés, propriétaires de bâtiments et gouvernements du monde entier réagissent désormais à la suite des nombreuses constatations de l’impact de l’environnement de travail sur la santé et le bien-être.
Quelle est la différence entre la santé et le bien-être ?
Il y a de nombreuses définitions du bien-être, mais elles ont toutes en commun une sensation agréable et une situation de réussite.
Le Wellbeing Institute de l’Université de Cambridge définit ainsi le bien-être comme « des caractéristiques positives et durables qui permettent aux individus et organisations de prospérer et de s’épanouir ».
C’est une mesure subjective de notre niveau de confort au moment présent et dans la vie en général. La définition de la santé au sens large inclut le bien-être, mais dans ce contexte il fait référence aux maladies et conditions qui affectent notre corps, telles que les infections, les allergies, la fatigue, le mal de tête, ainsi que les problèmes respiratoires, dermatologiques ou oculaires.
PLASMA
Le plasma est le « quatrième » état de la matière.
C’est un état où les molécules sont désorganisées sous forme « ionique ».
Par cette action, elles viennent déstabiliser les molécules et ainsi les « détruire », les transformer en molécules plus simples donc inoffensives grâce aux ions négatifs.
(Principe de Lavoisier « rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme »)
Le plasma froid est un gaz électriquement énergisé où les molécules se décomposent pour produire des électrons libres, des ions négatifs et positifs qui vont neutraliser des agents pathogènes.
Un ion est un atome ou une molécule portant une charge électrique, son nombre d’électrons étant différent de son nombre de protons.
Principe du PLASMA FROID
Nous produisons donc des radicaux libres, OH- que nous appelons aussi cluster via une ionisation « froide » (qui de fait, ne génère pas d’ozone, qui est dangereux pour la santé, et forme des COV lorsqu’il est en contact avec les éléments de bâtis et de décoration).
Ce plasma est généré grâce à une « torche », sous le principe d’un système corona, créer un
Champ / un arc magnétique qui arrache les ions entres eux. Cette torche est une carte électronique avec une anode et une cathode séparée par une gaine en quartz qui limite l’échange thermique. C’est ni plus ni moins le principe d’un éclair sans la foudre.
Ces OH- permettent de dégrader les polluants (bactéries, virus, moisissures) présents dans l’air et sur les surfaces.
Les microbes pathogènes sont transportés par l’air mais se déposent sur les surfaces et peuvent se reproduire et rester entre quelques heures et plusieurs jours suivant le type de surface.
Car à la différence des systèmes qui utilisent la photocatalyse ou des procédés de filtrations HEPA, et où le traitement s’effectue uniquement à l’intérieur de la chambre ou du filtre, le plasma, lui, créé ces mêmes radicaux libres mais sont diffusés par le ventilateur dans l’espace à traiter.
Le traitement est donc global et non uniquement dans la chambre de l’appareil. En « saturant » l’espace d’ions OH-, tous les « recoins » de la pièce sont donc traités.
Un plasma froid détruit 99,9 % des virus dans l’air !
Les virus se transmettent par différentes voies et en particulier par voie aérienne. Les systèmes de ventilation peuvent aussi propager des virus dans l’air. Il existe alors peu de moyens de s’en protéger, à part en mettant un masque.
Dans un article paru dans Journal of Physics D : Applied Physics, des chercheurs de l’université de Michigan proposent une autre technique, avec un plasma froid.
Ce procédé utilise des particules ionisées qui se forment autour de décharges électriques (étincelles).
Les chercheurs ont testé l’efficacité de ces plasmas non-thermiques sur un virus inoffensif, le phage MS2. D’après le communiqué de l’université, les scientifiques ont envoyé les virus dans un réacteur dans lequel se trouvaient des billes de verre au borosilicate.
Des applications pour stériliser l’air.
Les chercheurs ont fait passer les virus dans les espaces entre les billes. Herek Clack, un des auteurs, explique que « dans ces espaces vides, vous créez des étincelles. » En traversant cet espace, « les agents pathogènes dans le flux d’air sont oxydés par des atomes instables appelés radicaux. Ce qui reste est un virus qui a une capacité réduite à infecter les cellules. » Ce plasma froid pouvait inactiver ou tuer 99,9 % des particules virales !
Combiner une filtration de l’air avec une inactivation des virus par cette méthode pourrait améliorer les techniques de désinfection.
D’après le communiqué de l’université, l’irradiation par les UV ne peut pas stériliser aussi rapidement que le plasma non-thermique. Les chercheurs ont commencé à tester leur innovation dans l’air ventilé d’une ferme.
En effet, au-delà des applications en médecine humaine, ce procédé pourrait s’appliquer aux élevages vulnérables aux virus, comme par exemple dans le cas de la grippe aviaire. Pour en savoir plus, consulter le site futura sciences en cliquant ici.
FAQ
Retrouvez toutes les réponses à vos questions dans notre FAQ.
Les ions négatifs sont des minuscules particules chargées électriquement présents naturellement dans l’air que nous respirons
L’ionisation est l’action d’ajouter ou d’enlever des charges positives ou négatives à un atome ou à une molécule. Suite à ce gain ou à cette perte, ce dernier n’est plus neutre et est alors nommé « ion ».Les ions positifs sont principalement produits par les nouvelles technologies, la pollution ou encore les orages. Ils provoquent nervosité et tension.
Les ions négatifs procurent un sentiment d’apaisement. Ils ont une action bénéfique sur les personnes en apportant un confort respiratoire, ils déstabilisent les bactéries, virus, champignons, agents pathogènes en les empêchant de se reproduire évitant ainsi leur développement dans l’air, très présents dans les espaces non pollués comme en montagne, dans la campagne ou au bord de la mer, il se crée naturellement des ions négatifs qui purifient et rafraîchissent l’air. L’impression de bien-être universellement reconnue en montagne par exemple est directement liée à l’importante concentration en ions négatifs.
Cette sensation est en partie liée à la forte concentration en ions négatifs qui sont naturellement présents dans l’air respiré
- 50 000 ions négatifs/cm3 au pied d’une cascade IDENTIQUE A HYGIWATCH
- 5 000 à 10 000 en montagne
- 2 000 à 5 000 après un orage
- 500 à 1000 à la campagne
- 20 à 500 en milieu urbain
- 10 à 50 dans les appartements et dans les bureaux
- 0 à 10 dans les locaux climatisés
Si vous avez de bonnes défenses immunitaires les microbes pathogènes ne pourront pas se développer dans votre organisme car elles vous protègent c’est identique pour votre environnement nous lui apportons des vitamines, donc un système immunitaire pour les combattre
On crée une barrière (défense immunitaire) pour éviter le développement des microbes pathogènes en les transformant en particules plus simples et en rééquilibrant l’environnement entre les ions négatifs bons pour la santé (comme en montagne) et les ions positifs mauvais pour la santé et issus de la pollution
De ce fait bactéries, virus, champignons ou cov n’ont pas la possibilité de se reproduire sur les surfaces c’est ce qui passe en montagne ou à la campagne ou cette barrière est créée naturellement par une concentration d’ions négatifs supérieurs aux positifs
On peut multiplier les ions négatifs et neutraliser les ions positifs se sont les vitamines de l’air.
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